dimanche 6 septembre 2015

Nous les menteurs

Auteur  : E Lockhart
Editeur  : Gallimard Jeunesse
Collection: Roman Ado
Prix public  : 14,50 € en broché 
Date de parution  : 04/05/14
Genre : Roman adolescents, drame
Tranche d'âge  : dès 13 ans

                             288 pages
Note :
Polaris 4/5


Résumé : 

Caddy passe toutes ses vacances d'étés sur l'île privé de sa famille. Son grand-père ayant fait fortune dans sa jeunesse, il y réunit ses trois grandes filles et leur progéniture. Caddy, proche en âge de ses cousins Mirren et Johnny, ils font les 400 coups ensemble. Mais c'est pour Gat, le neveu du nouveau compagnon de sa tante dont elle a le béguin. Ensemble, ils forment le groupe des "Menteurs", surnommé ainsi par les adultes. Jusqu'à l'année de ses quinze ans où elle est victime d'un accident dont elle n'arrive plus à se souvenir. 

Souffrant encore des dommages physiques, elle retourne sur l'île 2 ans après pour essayer de rassembler les pièces manquantes du puzzle. Et si c'était pire qu'elle ne l'imaginait ?  

Avis:

Succès immédiat aux Etats-Unis, je guettais la parution de ce livre avec impatience.  Les critiques bonnes pour la plupart attisaient ma curiosité. Lu très rapidement, j'ai éprouvé de grosses difficultés à rédiger cette critique et plus précisément à décider si j'en ai apprécié la lecture. N'arrivant pas à trancher j'ai laissé le temps passer et attendu pour voir ce qu'il m'en restait au bout de plusieurs semaines.  

J'ai le souvenir d'un point de vue à la première personne qui permet à Caddy, la narratrice, de varier entre le présent et les étés précédents passés sur l'île. Mais le grand atout de l'ouvrage reste le suspense qui est maintenu à son comble jusqu'à l’excellent retournement final.

Même si j'ai eu du mal à me décider, il s'avère que la qualité du scénario l'emporte sur mon malaise durant la lecture.
Je le conseille donc, mais âme sensible s'abstenir.

Citation :

"C'est si bon d'être aimé, même si ça dure pas. C'est si bon de savoir que notre histoire a existé"


critique écrite par Polaris

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